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martyre des chiens

martyre des chiens
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Derniers commentaires
4 septembre 2005

Photos choquantes!

Les expériences On test :

- des produits domestiques (savons, crèmes, parfums, shampooings...)

- des produits chimiques destinés à la consommation (encres, peintures, détergents, lubrifiants.....)

- des pesticides,

- des armes ( nucléaires et autres)

- Privations d'oxygène, de sommeil. 

- Créations d'anxiété, d'agressivité, de folie,

- hypertension par compressions,

- blessures d'artères,

- transplantations; greffes de têtes ou d'organes,

- décharges électriques,

- tumeurs provoquées par des coups,

- cancers produits par des substances chimiques,

- absorptions forcées de drogues et d'alcool,

- noyades forcées,

- prélèvement de sang dans le coeur ou les oreilles,

- des singes sont projetés contre les murs,

- des chiens, singes et lapins sont ligotés pour les faire fumer de force,

- Séparer dès la naissante des chattons de leur mère, pour constater uniquement que ceux ci miaulait plus que ceux rester auprès de leur mère!

- Test de résistance au sommeil; empêcher un chat de dormir pendant plus de 40 jours pour constater que celui ci devient fou!

- Isoler un bébé singe, et l'empêcher à tout contact pour voir les conséquences de l'isolation.....

         

Souffrances et douleurs pour ces deux chiens torturés

(Chaton À gauche): chaton à qui on a cousu une patte sur le ventre. (Chaton À droite): un autre chaton à qui on a cousu le système urinaire pour l'empêcher d'uriner. Résultat : ce chaton est mort suite à l'éclatement, à l'intérieur du corps, de la poche de sa vessie.

Certains animaux subissent plusieurs expérimentations durant des jours; des mois ou même des années! Et leurs unique rêve et de mourir pour ne plus souffrir !

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4 septembre 2005

S.O.S famille d'acceuil !!!

SANS FAMILLE, ILS VOUS ATTENDENT!

FRANCE - Languedoc-Roussillon


  Association lozérienne de la protection animale
Venéde
48000 - Brenoux
Email :
Vigouroux.f@wanadoo.fr

  Association Protection animale du vallespir
Las bourguéres
66400 - Ceret
Tel : 0677023441
Email :
Animaux66@wanadoo.fr

  Au bonheur des 4'pattes
256 chemin des Lauzières
30900 - Nîmes
Tel : 0466272881
Email :
Refugenimes@aol.com

  Délégation des PYRENNEES (REFUGE SPA)
"Le Jardin de la Padrine", Route de Villelongue
66440 - TORREILLES
Tel : 468282036

  Délégation GARD - CEVENNES - LOZERE (REFUGE SPA DE VALLERARGUES)
Refuge SPA de Vallerargues
30580 - LUSSAN
Tel : 466729320

  Délégation de LEZIGNAN CORBIERES (DELEGATION SPA)
12 rue Guynemer, B.P. 29
11200 - LEZIGNAN CORBIERES
Tel : 468274213

22 juillet 2005

chiens et chats par millions ils passent a la boucherie

Chiens et chats, à la boucherie par millions

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Les chiens et les chats sont aussi aimés… pour leur viande. Dans de nombreux points du globe, mais surtout en Asie, ces animaux sont consommés. Leurs conditions d’élevage et surtout d’abattage sont choquantes.

20 millions au moins

Selon l’association américaine, Animal People, particulièrement en pointe sur ce dossier, il pourrait y avoir de 13 à 16 millions de chiens consommés en Asie du Sud-est, essentiellement en Corée du Nord, en Corée du Sud (bien que le gouvernement ait officiellement interdit la production et la consommation), au nord Vietnam et en Chine. Quatre millions de chats seraient également concernés.

Extrapolations



Toutefois, l’association souligne que ces données ne sont que des extrapolations, effectuées à la suite d’enquêtes dans les pays concernés. Mais comme aucun de ces Etats ne fait mention de cette consommation dans ses statistiques agricoles, il est impossible de chiffrer précisément l’ampleur du phénomène, qui est sans doute sous-évalué.


Superstition
Dans ces pays asiatiques, la consommation de la viande de chats ou de chiens correspond à diverses aspirations. Les animaux peuvent être mangés par superstition, les personnes croyant alors aux vertus bénéfiques de ce plat et le consommant à des dates précises. Une autre motivation peut être la tradition, ce qui est le cas pour certaines minorités ethniques, qui font de leur alimentation une manifestation de leur singularité. En d’autres cas, la supposée valeur aphrodisiaque de leur viande est un motif de consommation. La famine conduit aussi les habitants à se résoudre à manger leurs compagnons. Enfin, et c’est un aspect qu’il ne faut pas négliger, certains mangent du chien, tout simplement parce qu’ils trouvent cela bon. Au Vietnam, un repas de chien partagé entre amis s’accompagne souvent de force boissons.


" Fermes spécialisées "
Le plus choquant dans la consommation de chiens dans le pays d’Asie est la façon dont les animaux sont traités. En Chine, des " fermes " élèvent les chiens dans des conditions déplorables. Le scandale suisse des chiens de race Saint-Bernard, vendus à ces élevages d’un autre âge, a permis de prendre la mesure du phénomène. Au Vietnam, ce sont le plus souvent des chiens errants qui sont volés, dans les rues et finissent dans les menus des restaurants.

Souffrance
Et le pire est la façon dont la mort est infligée à ces animaux. En effet, la tradition veut que les clients trouvent la viande meilleure, si l’animal souffre au moment de l’abattage. Les façons de procéder sont multiples et terriblement efficaces. Ce sont, le plus souvent, des chiots de huit à dix mois, qui finissent dans des casseroles.

22 juillet 2005

votre meilleur ami et leplus fidele sera toujours un animal alor singer le et prenez en soin

UN COPAIN POUR DES ANNEES.

Avoir un animal est un engagement pour une longue période et une grande responsabilité.

Votre enfant est décidé, il veut un animal de compagnie. Avant de lui faire ce plaisir, consultez avec lui ces quelques conseils qui lui permettront de mieux mesurer l’engagement que représente la venue d’un chien ou d’un chat dans une famille.

L’arrivée d’un animal peut être l’occasion de donner des responsabilités pratiques à l’enfant en l’associant à son entretien. C’est aussi un moment privilégié pour lui. Il va pouvoir connaître la joie de vivre avec un compagnon de jeux formidable qui le fera progresser dans son développement psychologique et affectif.

Pour que tout se déroule bien, il faut veiller à ce que l’enfant apprenne à respecter son animal, à ne pas lui faire de mal, même involontairement et à l’aimer. L’école de la vie, en somme.

22 juillet 2005

ou ne surtout pas ce rendre

En achetant un animal de compagnie auprès d’une animalerie ou d’un pseudo éleveur, vous risquez très fortement de contribuer au trafic d’animaux familiers. En effet, rares sont les animaleries qui s’approvisionnent auprès d’éleveurs sérieux. À l’instar des pseudo - éleveurs, elles se fournissent auprès de centres d’élevage multi-races, de courtiers en animaux de compagnie, de centres de transit belges ou espagnols ou encore auprès d’exportateurs.

Les pseudo - élevages et les animaleries sont très attractifs car ils proposent une gamme de races très large, de chiots élevés dans des conditions désastreuses au moindre coût. La concurrence est donc très rude pour les éleveurs sérieux qui proposent un nombre de races limité et de magnifiques chiots bien socialisés : ils dépensent en nourriture, vétérinaire, litière et chauffage, davantage que le prix de vente d’un chiot en animalerie ! Sans compter le temps passer à s’occuper des animaux adultes et chiots.

Par ailleurs, les pseudo - éleveurs et les animaleries discréditent la profession d’éleveur en proposant des animaux sans pedigree pouvant présenter des maladies, des malformations, des problèmes de comportement…

Dans les animaleries



Les animaleries actuellement en plein essor, se déclinent sous trois formes : les animaleries faisant partie d’une chaîne animalière, les animaleries intégrées dans une jardinerie et les animaleries indépendantes parfois associées à un salon de toilettage.

Dans leur grande majorité, les animaleries connaissent l’origine exacte des animaux qu’elles proposent. Mais certaines se gardent bien d’en informer leurs clients de peur de rencontrer une quelconque réticence. En effet, dire à son client " ce chiot a survécu tant bien que mal à son long transfert depuis les pays d’Europe centrale " n’est pas très vendeur !

L’autre défaut de la plupart des animaleries est de présenter les animaux dans des conditions d’hygiène et de confort inadaptés. Enfin, les vendeurs, trop souvent, ne connaissent strictement rien aux animaux ou presque.



Un pseudo éleveur, c’est un vendeur de chiots ou de chatons qui tente de se faire passer pour un véritable éleveur. Plusieurs paramètres peuvent vous permettre de le démasquer : il propose de très nombreuses races ; les animaux ne possèdent pas toujours de pedigree ; les parents des chiots sont rarement visibles.

Il faut aussi se méfier de l’éleveur qui " peut se débrouiller " pour trouver rapidement un chiot d’une race rare : cela veut dire qu’il viendra d’un réseau de trafiquants. Pour connaître le degré de rareté d’une race, il suffit de demander à la société centrale canine, le nombre de naissances. Plus il est faible, plus la race est peu représentée.

Sur le marché des petites annonces


La lecture des petites annonces demande de la prudence. Vous trouverez ici quelques clés pour vous aider à les décrypter.

En premier lieu, évitez les petites annonces où plusieurs races sont proposées car bien souvent derrière, se cache un pseudo - éleveur.

Ensuite, ne lisez pas que les petites annonces des races qui vous intéressent. En effet, si vous repérez qu’un "particulier" laisse son numéro de portable sous plusieurs annonces concernant des races différentes, vous avez affaire à une personne peu honnête.

Sachez enfin qu’en achetant un animal auprès d’un particulier, vous favoriserez la surpopulation animale puisque vous l’inciterez à faire de nouveau se reproduire ses animaux ; l’objectif du particulier étant la plupart du temps de se constituer un petit pécule. De plus, bien souvent, il ne vous proposera aucune garantie concernant la race, les troubles du comportement ou les anomalies pouvant toucher l’animal.
Chez un pseudo éleveur

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22 juillet 2005

ou ce rendre poour acheter un chien



En choisissant d’adopter un animal dans un refuge, vous lui donnerez une nouvelle chance. Vous lui permettrez de s’épanouir pleinement au sein de votre foyer et d’établir un lien privilégié avec sa nouvelle famille. Cet animal vous en sera d’autant plus reconnaissant qu’il aura traversé des épreuves difficiles.

Adopter dans un refuge offre également d’autres avantages. En effet, les animaux présents ont généralement atteint leur taille adulte, la plupart d’entre eux sont propres ou le deviennent très rapidement, ils ont reçu une certaine éducation et enfin, point très important, leur caractère est défini. Ainsi, vous n’aurez pas de surprises.

Les personnes qui travaillent dans les refuges connaissent bien les animaux dont ils s’occupent quotidiennement. Ils sauront alors vous guider et vous conseiller quant à l’animal présent qui conviendra le mieux à votre mode de vie, à l’espace dont vous disposez et aux activités que vous souhaitez pratiquer avec lui.

Comme pour un chiot d’élevage, un chien issu d’un refuge doit toujours être au calme dans la semaine qui suit son installation à votre domicile. En effet, le fait d’avoir été abandonné, placé en refuge, puis réintégré dans un foyer, lui cause nombre de perturbations. Or, le chien est un animal volontiers casanier. Donc s’il manifeste de l’anxiété en faisant ses besoins à la maison, par exemple, inutile de le gronder trop sévèrement, cela ne ferait qu’accroître son désarroi.

De la même façon, expliquez aux enfants, si vous en avez, de ne pas importuner le chien en voulant à toute force le caresser ou jouer avec lui, dès son arrivée à la maison. Il faut lui laisser le temps de trouver ses marques. Généralement, au bout de quelques jours, le chien est ravi de sa nouvelle famille et se sent à l’aise.

Chez un éleveur conseillé par le club de race

Si vous êtes fixés sur une race précise et que vous souhaitez acquérir un animal avec pedigree, orientez-vous vers des éleveurs sérieux, c'est-à-dire qui ne proposent que deux ou trois races. Ils les élèvent par passion et non par intérêt financier.

Afin d’orienter votre choix, n’hésitez pas à contacter les clubs de race. Les responsables des clubs apprécient tout particulièrement de vous renseigner. Ils aiment leurs chiens et veulent qu’ils aillent chez de bons maîtres. Ils vous indiqueront si votre mode de vie est compatible avec la race voulue. Ils vous diront aussi, avec franchise, les " mauvais points " de leur race, car il y en a toujours.

De surcroît, ils vous fourniront des adresses d’éleveurs recommandés. Car il est possible d’élever telle ou telle race, d’être inscrit sur le fichier de la société centrale canine, mais de ne pas faire " partie des tablettes " du club de race, car on ne respecte pas ses engagements.

Lors de votre visite, vous devez impérativement voir au moins la mère des chiots, l’idéal étant de voir les deux parents. Si vous ne pouvez pas voir le père, cela signifie que l’éleveur, dans le souhait d’éviter la consanguinité (et donc la survenue de tares génétiques), a choisi d’apporter un peu de " sang frais ", ce qui n’est pas une mauvaise chose. Mais alors vous devez pouvoir le voir sur des photographies, ou demander à le voir dans son autre élevage.

Les chiens issus d’élevage sont inscrits au LOF (Livre des Origines Français) et les chats au LOOF (Livre Officiel des Origines Félines) ce qui constitue une sorte de garantie sur le marché actuel. Les éleveurs sérieux vous fourniront des certificats attestant que les parents des chiots ne sont pas porteurs d’anomalies génétiques (dysplasie coxo-fémorale, tares oculaires…). Anomalies qui varient selon les races.

Sachez que si vous vous adressez à un bon éleveur, vous devrez parfois patienter plusieurs semaines, voire plusieurs mois avant qu’un chiot ou un chaton ne soit disponible. En effet, les chiennes et les chattes ne font qu’une portée au maximum par an chez ces éleveurs, afin de ne pas les épuiser. Dites vous, pour patienter, que la joie d’accueillir votre animal en sera grandie et que ce sera un animal très spécial.

Dans un refuge

22 juillet 2005

nos droits

Vos droits

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Vous avez choisi d’accueillir un animal au sein de votre foyer et vous vous apprêtez à aller à sa rencontre. Sachez qu’en tant que famille d’accueil, vous avez des droits que le vendeur est tenu de respecter.
À vous d’imposer vos exigences, vos conditions au vendeur et à lui de s’adapter. Cette exigence sera bénéfique pour vous car vous augmenterez vos garanties d’accueillir un animal sans problème de santé, ni problème de comportement. Elle sera également profitable à toutes les autres familles car les vendeurs d’animaux familiers comprendront très vite qu’ils doivent être irréprochables pour poursuivre leurs activités.

I - Droit d’être informé
II - Droit de voir les parents

Quelques éléments pour vous guider lorsque vous irez à la rencontre de votre animal :

Huit semaines : c’est l’âge légal de vente en France. Seuls les chiens et les chats âgés de plus de huit semaines peuvent être vendus.

Identification : lorsque vous faites l’acquisition d’un chat ou d’un chien, à titre gratuit ou onéreux, celui-ci doit être identifié par tatouage ou à l’aide d’une puce électronique aux frais du cédant.

LOF/non LOF : un chien est déclaré LOF, s’il est inscrit au Livre des Origines Français. Cela vous apporte une garantie concernant les origines de votre animal et atteste de la pureté de sa race. L’équivalent pour les chats est le LOOF (Livre Officiel des Origines Félines).

Type/Race : prenons pour exemple un chien de type Labrador, c’est un chien qui présente les caractéristiques générales de la race Labrador mais qui n’est pas un pure race Labrador. Le terme race ne peut être attribué qu’aux chiens et chats inscrits au LOF.
La mention type ou race doit être précisé sur l’attestation de vente.

Certificat de naissance/Pedigree : lors de l’acquisition d’un animal LOF, il doit vous être remis un certificat de naissance. Pour obtenir le pedigree votre animal devra passer un examen de confirmation vers l’âge de 12 à 15 mois selon les races.



Chez un éleveur, les parents de l’animal du moins la mère doivent être visibles. L’éleveur ayant le souci d’éviter les problèmes de consanguinité, le père peut en effet être issu d’un autre élevage.

Si on ne vous permet pas de voir au moins la mère alors vous êtes probablement face à une personne malhonnête.

III - Droit de connaître les origines de l’animal

En animalerie ou auprès d’un vendeur multi-races, n’hésitez pas à demander les origines exactes de l’animal. Pour cela réclamer les coordonnées complètes de l’éleveur.



Vous avez le droit de refuser un animal qui ne vous paraît pas en parfaite santé. Parfois, les vendeurs tentent de minimiser la gravité des symptômes. Par exemple, on vous propose un chien qui présente un écoulement du nez en prétendant que c’est bénin. Seulement, cela peut correspondre à l’un des symptômes de la toux du chenil, maladie pouvant être mortelle pour le chiot.


V - Droit d’accueillir un animal ne présentant pas de troubles du comportement
Pour cela, questionnez le vendeur afin de vous assurer que l’animal a évolué dans un environnement lui permettant de se socialiser. Les éléments suivants vous y aideront.

Les premières semaines de la vie d’un animal sont déterminantes vis à vis de son comportement futur. Ainsi, plusieurs conditions doivent être respectées pour qu’il devienne un adulte équilibré. D’une part, cela suppose qu’il soit resté plusieurs semaines avec sa mère ; celle-ci jouant un rôle essentiel dans son éducation et son apprentissage. D’autre part, très tôt, il doit être familiarisé aux humains et à leur environnement pour qu’il puisse s’habituer aux bruits comme celui de l’aspirateur, de la voiture ainsi qu’à être manipulé et caressé.

Les chiots non socialisés sont victimes d’un syndrome de privation sensorielle et sont incapables d’analyser et de gérer les stimuli qu’ils perçoivent. Ils ne sont donc pas en mesure de s’adapter à leur environnement. Leurs réactions peuvent aller de la simple crainte en réaction à certains stimuli associée parfois à une certaine agressivité, jusqu’à une véritable dépression pouvant être jointe à un hyper-agressité vis-à-vis de l’homme et/ou de ses congénères. Dans le premier cas, l’animal peut guérir. Dans le second, il ne présentera jamais une comportement "normal".


(tares oculaires, dysplasie)

Pour vous assurer que l’animal que vous adoptez n’est pas atteint de dysplasie coxo-fémorale (anomalie au niveau des hanches) très fréquente chez les chiens de grande race ou ne présente pas de tares oculaires, vous êtes en droit de demander les certificats des parents attestant qu’ils ne sont pas porteurs de ces anomalies.



Les animaux de compagnie ne font pas exception aux phénomènes de mode et régulièrement des races sont mises en avant. Il est important que vous ne succombiez pas à ces effets de marketing mais que vous choisissiez l’animal en fonction d’autres critères comme votre rythme de vie, les activités que vous pratiquez, l’espace dont vous disposez. Privilégiez l’animal qui sera le plus en adéquation avec votre mode de vie et avec lequel vous aurez le plus d’affinité.

VIII - Droit d’agir en justice


Si l’animal que vous avez choisi tombe gravement malade ou décède quelques jours après son arrivée au sein de votre foyer, s’il présente des troubles du comportement ou bien encore s’il est porteur d’une anomalie, vous pouvez intenter une action en justice pour l’un des motifs suivants :

pour vices rédhibitoires :

Pour l’espèce canine, les maladies considérées comme vices rédhibitoires sont la maladie de Carré, l’hépatite contagieuse, la parvovirose canine, la dysplasie coxo-fémorale, l’ectopie testiculaire, l’atrophie rétinienne.

Pour l’espèce féline, les maladies considérées comme vices rédhibitoires sont la leucopénie infectieuse, la péritonite infectieuse féline, l’infection par le virus leucémogène félin, l’infection par le virus de l’immuno-dépression.

Le délai imparti pour introduire une action en justice court à compter de la livraison de l’animal. Ce délai varie selon les maladies ou les défauts et est relativement court.

pour vices cachés :

Si l’animal présente des défauts, des vices indiscernables autrement dit cachés, la garantie de droit commun peut s‘appliquer. Les défauts cachés sont ainsi définis : ils rendent la "chose" vendue impropre à l’usage auquel elle est destinée ou diminuent tellement cet usage que l’acheteur ne l’aurait pas acquise ou a un plus bas prix.

C’est le cas, par exemple, pour un animal de compagnie atteint de graves troubles du comportement qui nuisent à son interaction avec sa famille et son environnement. Face à cette situation, vous êtes en droit de demander un dédommagement au vendeur.

pour publicité mensongère :

Une action en justice pour publicité mensongère est envisageable lorsque, par exemple, l’encart publicitaire présente la société comme un élevage et que les parents sont visibles à la ferme alors que cela n’est pas le cas.

pour tromperie sur la marchandise :

La plainte pour tromperie sur la marchandise peut par exemple s’appliquer lorsque l’animal tombe gravement malade et qu’il ne s’agit pas d’un vice rédhibitoire.

Documents qui doivent vous être remis


- Certificat d’identification par tatouage ou puce électronique
- Carnet de santé
- Attestation de vente qui précise les dates de vente et de livraison, l’identité de l’animal, son prix, le nom du vétérinaire désigné pour la visite d’achat, le numéro de tatouage, éventuellement la race ou le type…

Sur une foire ou un marché, à ces documents doivent s’ajouter :


- Certificat de vaccination établi par la Direction des services vétérinaires
- Certificat sanitaire établi par la Direction des services vétérinaires
- Pour les chiens importés, ces certificats doivent être établis par un praticien du pays d’origine.
VII - Droit de choisir la race
VI - Droit de savoir si les parents sont porteurs d’anomalies génétiques
IV - Droit d’accueillir un animal en bonne santé

22 juillet 2005

le bon choix

Faire le bon choix



Sachez alors que selon notre race, nos besoins diffèrent. Certains d’entre nous réclament beaucoup d’espace, d’autres aiment se dépenser, certains supportent moins la solitude que les autres… Chaque race présente donc ses particularités. Ainsi, selon votre rythme de vie, les activités que vous pratiquez, l’espace dont vous disposez, ne vous arrêtez pas à notre apparence et choisissez la race qui sera la plus adaptée à votre mode de vie et avec laquelle vous aurez un maximum de complicité. Nous allons passer 13 ans ensemble, ne l’oubliez pas.

22 juillet 2005

un effet de mode

Ne succombez pas à l’effet de mode



Par ailleurs, en tant que porte-parole de la gent canine et féline, je me dois de vous mettre en garde contre certains messages véhiculés par la société de consommation dans laquelle nous vivons. Le milieu canin ne fait pas exception aux phénomènes de mode. En effet, régulièrement, certaines races de chiens sont mises en avant. Quelques années auparavant, nos amis venus du froid, les Husky étaient en haut de la vague, puis les Labradors leur ont succédé. Aujourd’hui, ce sont les Bouledogues français qui ont le vent en poupe. À contrario, le choix de l’animal se détermine parfois en fonction de la rareté et de l’originalité de la race. Seulement, nous ne sommes pas des objets ou des faire-valoir. Avant tout, nous souhaitons être choisi pour ce que nous sommes et non pour ce que nous représentons.

22 juillet 2005

un budjet

Un budget à prendre en compte



Outre la modification de vos habitudes, ne négligez pas l’aspect financier lié à mon arrivée. En effet, votre budget sera entamé par mon prix d’achat, le coût de mon alimentation, de mes soins vétérinaires et de mes frais de pension (dans le cas où nous partons en vacances séparément). De surcroît, certains de mes semblables nécessitent un entretien particulier de leurs pelage et doivent se rendre régulièrement chez un toiletteur ce qui constitue une dépense supplémentaire.

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